Le petit jardin aimé par Cocteau dans les années Cinquante qui côtoie la salle qui porte son nom est aussi un endroit où sont exposées des œuvres permanentes: “La Vierge aux Innocents” par Daphné Dubarry, ou “Les Sentinelles” et “La ¨Paroi des rêves” par Frédérique Nalbandian.